Chronique lecture: les cendres d'Angela, de Franck Mc Court
Bonjour!
Encore une chronique lecture!
Il y a des livres qui nous bouleverse, parfois sans raison. On y pleure on y rit, on y Vit avec une majuscule. On referme ces livres avec douleurs, puis l'on s'étonne que le monde n'ai pas été transformé avec nous. Ces bouquins, au même titre que nos goûts, nos activités, que des phrases ou des personnes, construisent notre personnalité
Aujourd'hui, je vais parler d'un de ces livres, fini il y a peu. Les cendres d'Angela de Franck McCourt (adapté en film, à voir et à chroniquer pour bientôt)
C'est un récit autobiographique de l'enfance de l'auteur, de sa naissance en Amérique, puis son déménagement en Irlande. Ce classique, que vous pouvez sans souci citer dans une rédaction ou une dissert, est avant tout extrèmement triste. Chronqieu sponsoriée par l'inventeur du mouchoir.
Angela, une jeune irlandaise danseuse, arrive en Amérique et s'entiche de Malachy, un brise-coeur d'Irlande du Nord. Ils concoivent un enfant, et les tantes d'Angela les contraignent à se marier. Après Frank vienne un autre garçon, puis deux jumaux, et enfin une petite fille adorable, Margaret
Lorsque celle-ci meure, c'est la fin de tout. La famille retourne en Irlande, à Limerick
Entre les puces, la faim, le regard des autres enfants et celui des maîtres d'école, Franck voit le temps passer, sa mère mendier, son père boire son salaire et l'allocation chômage avant de les faire promettre de mourir pour l'Irlande, et mourir ses frères.
Mon avis: j'ai déjà dit plus haut que ce livre m'avait bouleversée. Il est incroyablement triste, incroyablement beau. L'auteur nous narre son enfance plus que misérable sans que la moindre amertume ou les moindres remords ne percent les lignes. Il raconte c'est tout, de façon poignante, avec une plume redevenue enfant, spontanée et naïve
Il y a peu de longues descriptions, tout est clair et concis, enfantin et cruel.
On s'attache malgré nous aux personnages que l'on sait bien souvent destinés à mourir ou à disparaître, on pleure aussi (pour de vrai), on en oublie que c'est une autobiographie, et plus que tout on veut partager cette merveille au monde