Chronique lecture: BZRK de Michel Grant
Et une petite chronique lecture d'une des plus exceptionnelles séries de SF de ces derniers temps, une série au nom mystérieux (et imprononçable aussi): BZRK de Michel Grant (dire Bézèdèrka)
Synopsis: en 1940, Noah, un jeune anglais, assiste à la démence de son frère. Sadie, elle, assiste au meurtre de son père et de son frère... Les deux sont, sans le savoir encore, liés à une organisation secrète, BZRK, un des deux clans d'une guerre que seule une poignée de personne connaît. Le clan des gentils ou des méchants? Ni l'un ni l'autre. Peut-être celui des un peu moins méchants... En face, le clan Armstrong veut prendre le pouvoir de tous les cerveaux humains, supprimer les émotions négatives et créer un nouveau monde. BZRK, eux, se battent pour garder le droit d'être humain. Le droit d'être malheureux. Et pour se départager, les deux clans se battent dans l'infiniement petit, dans les méandres du corps humain, dans la dimension nano (pour les Bulles en physique: la dimension nano, c'est en gros la taille d'une globule rouge. La taille où une puce vous parait être un monstre 100 fois plus grand que vous. Bref vous voyez la taille). Dans la viande.
Avis: wap. Désolée c'est une grande partie de ce que j'ai à dire: wap. Une...Une pure merveille qui se lit à toute vitesse, haletant, éternel, flippant, impressionnant. Un changement de noms des personnages en plein milieu du premier tome c'est un peu déstabilisant mais ça va. J'ai particulièrement apprécié la devise de BZRK "Mourir ou devenir fou"
Et vous? Vous choisissez quoi?