Film/Musique #2

Hello ! Aujourd’hui, un film encore très frais dans ma caboche, tiré d’un libre dont je vous parlerai dimanche

Au bonheur des Ogres, réalisé par Nicolas Bary, sorti…Ben aujourd’hui, tiré du roman éponyme de Daniel Pennac. Au casting on retrouve Raphaël Personnaz, Bérénice Bejo, Guillaume De Tonquédec. C’est une comédie française. Et ne fuyez pas parce que c’est une petite perle

Synopsie : cette comédie raconte l’histoire de Benjamin Malaussène, trentenaire vivant avec ses deux demi-frères et deux-demi sœurs que sa mère, éternelle amoureuse toujours aux quatre coins du monde, fait avec des inconnus qu’elle lâche rapidement. Son boulot ? Officiellement, contrôleur technique. En réalité, se faire engueuler. Il est bouc émissaire professionnel dans un grand Magasin. Quand des clients sont mécontents, il est appelé, se fait défoncé par la direction, si bien que les clients retirent leur plainte. Sauf qu’un jour, une bombe explose dans le magasin, soufflant un des employés qui venait de demander à Malaussène d’appuyer sur l’interrupteur pour allumer la lampe qu’il tenait. Quand la seconde explose, Benjamin était devant la porte. Et vu qu’il était aussi là pour la troisième, tous les soupçons se portent sur lui…Bien sûr les bombes ne sont pas l’unique chose de l’histoire. Ce serait oublier les demi-frères et sœurs, Thérèse qui lit les cartes et sèche les cours pour se consacrer à la voyance, Louna qui est (aussi) enceinte et qui le cache, Le Petit doté de lunettes qu’on peut débrancher pour qu’il n’entende pas les insultes des grands et qui dessine des Ogres de Noël (dans le livre mais pas le film, ceci a un rapport avec les bombes, RDV dimanche) et Jeremy qui teste des bombes artisanales, le tout avec Tante Julia, une journalisme kleptomane à qui Benjamin sauve la face et ramène en tant que fiancée, et Julius, le chien méphitique épileptique

Mon avis : une comédie à dévorer. Suspense, blagues tout azimut, pas extrêmement fidèle au livre, mais qui reste dans l’atmosphère bien décalée du roman. Les acteurs incarnent à merveille les personnages atypiques, et même le chien joue son rôle à la perfection

Les citations à retenir :

C’est chiant tout ça

Ah Thérèse ne parle pas comme ton frère

Elle m’emmerde cette pouffiasse

Jérémy, ferme là, tu vas pas commencer à parler comme ta sœur !